Aujourd’hui, nous partons vers la Scène nationale Carré-Colonnes et sa chargée de communication Meggy COSSON :
Racontez-nous votre parcours…
J’ai grandi en Nouvelle-Calédonie avant de débarquer en métropole pour une carrière que j’envisageais « dans le monde de la culture ». Vaste projet qui m’a emmenée sur de nombreux chemins : j’ai en effet exercé des métiers variés tels que médiatrice, guide-conférencière ou chargée d’exposition. J’ai monté en parallèle ma micro-entreprise d’illustration et de graphisme, et j’ai répondu pendant 3 ans à des demandes de structures culturelles. Ce n’est qu’en 2018, en intégrant l’équipe du Théâtre le Liburnia, que j’ai officiellement exercé le métier de chargée de communication.
Qu’est-ce qui vous passionne dans la com’ ?
La communication, c’est comme le spectacle : c’est vivant ! Elle s’adapte toujours, évolue et progresse en fonction des enjeux de notre société. Et parce que c’est un dialogue constant, cela m’apprend à être plus empathique, à toujours faire preuve d’innovation et de créativité.
Quel serait l’évènement / l’élément marquant dans votre carrière de communicant ?
J’ai assuré la communication de la 30ème édition du festival international des arts de la rue, Fest’arts, à Libourne… en pleine crise sanitaire. Il y avait beaucoup d’enjeux à ce que ce festival existe malgré la situation. C’était donc pour moi un gros challenge, car la manifestation était incertaine et il fallait tout de même garder un lien très fort avec nos prestataires, la presse, etc.
Comment envisagez-vous l’avenir des métiers de la communication / de votre métier ?
Je pense que les métiers de la communication ont encore de beaux jours devant eux ! Même s’il faut rester connecté et proche des initiatives numériques et technologiques, il me semble que nous ne devrions pas négliger la relation humaine. C’est en tout cas ce qui m’a motivée à intégrer l’APACOM : rencontrer d’autres professionnels et partager nos expériences.