Nous souhaitons la bienvenue à Emlyne Tessari-Rossi, chargée de communication chez NOBATEK / INEF4 une entreprise d’innovation dans le domaine du bâtiment durable.
Racontez-nous votre parcours…
Au lycée je faisais partie de l’équipe de rédaction du journal. J’ai fait des rencontres, beaucoup ; des déplacements, quelques-uns ; et des souvenirs, par dizaines. C’est là que je me suis dit que j’aimais communiquer.
Du coup, je me suis dirigée vers l’ISIC de Bordeaux. Et comme j’aime les challenges, je l’ai fait en bilingue anglais. 3 années folles ! Dont mon seul regret sera d’avoir déposé trop tard mon dossier pour un ERASMUS… Lors d’un village associatif, j’ai rencontré l’équipe de Stratejic, la Junior Entreprise en Communication de l’Université Bordeaux-Montaigne. J’ai été recrutée en tant que cheffe de projets. Assez rapidement, j’ai été « promue » responsable projets, en binôme on recrutait et formait les nouveaux/elles chef.fe.s de projets, et on suivait toutes les missions en cours. C’était génial ! J’ai adoré, aller au contact du client, suivre leurs projets et les voir mûrir. Encore une fois, beaucoup de rencontres, beaucoup de projets, beaucoup d’afterworks… J’adorais ça.
Après 3 ans sur les bancs de la fac, j’ai eu envie de bouger. L’alternance est arrivée comme une illumination. 6 mois de recherche acharnés… Beaucoup de déceptions… Mais toujours une lueur d’espoir, qui a fini par payer. J’ai été prise chez NOBATEK / INEF4, en tant que chargée de communication. Ça m’a permis de me diversifier, de voir le côté annonceur après avoir vécu le côté agence. Cela fait bientôt 3 ans que j’y travaille.
Qu’est-ce qui vous passionne dans la com’ ?
Sa mutabilité. Tout change en permanence, on ne peut pas s’ennuyer. Le COVID-19 a d’ailleurs montré que le métier s’adapte habilement à tout type de situation !
Quel serait l’évènement / l’élément marquant dans votre carrière de communiquant ?
Le jour où on m’a proposée de devenir responsable à Stratejic. Ça été proposé, assez vite accepté par les autres responsables de pôle. J’y étais depuis 3 mois, j’avais rencontré 5 clients, aucun projet n’avait encore abouti… Je n’ai pas hésité très longtemps, et ça a été une des meilleures décisions de ma vie.
Comment envisagez-vous l’avenir des métiers de la communication / de votre métier ?
Comme une partie de twister. Il va falloir être flexible, agile, bouger au bon moment et surtout s’adapter !
Propos recueillis par Marie Chappaz