L’APACOM accueille chaque année de nouveaux adhérents. Nous leur avons demandé de répondre à un petit questionnaire afin de mieux les connaître, de savoir qui ils sont et quelle est leur vision du métier de communicant.
Aujourd’hui nous nous intéressons à Anthony Ribeiro, directeur associé de AND Digital.
Votre « Bio-Express » : présentez-vous en 3 lignes.
Anthony Ribeiro : Diplômé d’une Licence en Marketing des Services et des TIC, j’intègre une agence de communication dans laquelle je reste 7 ans. Depuis le 1er janvier 2014, j’ai créé avec un ancien collaborateur, AND, agence conseil en communication digitale. Nous étudions enjeux, cibles et attentes d’un prospect pour concevoir un dispositif digital sur-mesure et efficace. Nous réalisons l’ensemble des étapes du dispositif, du conseil à la production technique en passant par la direction artistique, le référencement naturel, la production de contenus, …
L’agence est spécialisée dans quelques secteurs d’activités : assurances, industrie, construction & immobilier. Nous travaillons aujourd’hui pour des sociétés nationales telles que Maaf Assurances ou Sopro-Comeg, des institutions comme le Conseil général de la Gironde et Aquitaine Culture et des TPE/PME sur les régions Aquitaine et Poitou-Charentes.
Nous sommes aujourd’hui basés à Bordeaux, à la Pépinière Eco-Créative des Chartrons.
Votre « actu » dans la communication ?
Anthony Ribeiro : Pour le moment, nous sommes dans la phase de lancement de l’agence, la priorité est donc de poser les fondations de l’agence (fondations administratives, humaines, techniques, méthodologiques …) et de produire en parallèle les dossiers que nous signons.
Votre coup de cœur » com’ » de l’année ?
Anthony Ribeiro : The Ultimate Sleep.
Comment vous projetez-vous dans l’avenir, quelle évolution pour votre métier ?
Anthony Ribeiro : Le digital est en constante évolution, de par les supports et leurs technologies d’une part, mais aussi de par les attentes des utilisateurs liés à l’expérience. Pour nous, l’avenir sera fonction de ces 2 facteurs principaux et de la hausse continue des supports « mobile ».
Mais se contenter de raisonner purement web serait une erreur, le support reste un support, il en existe plusieurs et c’est d’ailleurs pour cela que les priorités doivent demeurer l’expérience utilisateur et le fond du message à délivrer.
Propos recueillis par Florence Lepage