Cette semaine, nous souhaitons la bienvenue au sein de l’association à Bruno Schwab.
Parlez-nous de votre parcours
‘’Le Droit mène à tout … à condition d’en sortir’’, adage que j’ai repris à mon compte et respecté pour entamer et poursuivre, après quelques années universitaires et juridiques, une ‘’carrière’’ dans la pub (comme on disait à l’époque !) … au grand dam de mes parents qui m’auraient bien vu porter la robe !
Donc, des débuts en agence sur Paris (Taxi Jaune et Siquier Courcelle) puis en régions (Tours et Bordeaux) avec un poste à double casquette en étant salarié de l’agence (Mao puis DMBB) mais détaché physiquement et structurellement chez l’annonceur (groupe automobile italien). Long passage, ensuite, dans les médias (régies radio, presse, affichage et éditeurs) avec des fonctions et missions plus commerciales que j’occupe toujours aujourd’hui. Mais ceci dans un nouvel environnement qui est celui de la production visuelle, chez Num’imprim, spécialiste de l’impression numérique grands formats.
Bref, un parcours et des choix toujours empreints de curiosité et d’envie d’appréhender, de découvrir et de maîtriser les multiples métiers de la Communication, spectre toujours plus large et étonnant ! À quand le web et le digital ??
Quels sont vos projets com’ ?
Le projet le plus beau est toujours le suivant car rien n’est plus grisant que de se projeter dans un dossier où tout est à penser et à faire et rien n’est plus satisfaisant que d’en vivre le résultat !
Quelle est votre règle d’or en communication ?
‘’Listen is better’’ disait, de mémoire, Ogilvy ! … Je constate que c’est d’abord dans l’écoute qu’on valorise le partage, que c’est souvent dans l’écoute qu’on favorise la compréhension, que c’est toujours dans l’écoute qu’on décèle les solutions !
C’est tout le paradoxe de nos systèmes très élaborés de communication actuelle où l’on s’exprime beaucoup voire trop et où l’on entend plus que l’on écoute, l’on voit plus qu’on ne regarde ! Cela fait un peu vieux sage de dire ça mais après tout, c’est toujours mieux que « vieux con » !
Propos recueillis par Jérômine Pénet