Lisa Wyler, Consultante en relations presse et influence, présente son parcours et les raisons de sa candidature au conseil d’administration de l’APACOM.
Présentez-vous en quelques lignes : votre parcours et vos fonctions actuelles.
J’ai créé mon agence de relations presse Lisa Wyler Communication en 2018. J’ai commencé ma carrière à Paris chez Total, où j’ai eu diverses fonctions de communication avant d’intégrer le service de presse. J’ai ensuite été responsable de la communication d’une grande association antiraciste, la LICRA. En 2010 je me suis installée à Bordeaux, où j’ai intégré l’agence STJOHN’S. Aujourd’hui j’accompagne des entreprises et des institutions dans leurs stratégies de visibilité auprès des médias et des influenceurs dans le domaine de la technologie, du marketing, de l’énergie ou de la culture.
Vous candidatez au poste d’administratrice au sein de l’Apacom. Quelles sont les raisons de cet engagement ?
J’ai souhaité être membre de l’APACOM dès mon arrivée à Bordeaux, cela m’a d’ailleurs aidé à enrichir ma connaissance de l’écosystème bordelais. J’ai représenté mon employeur à diverses occasions lorsque j’étais salariée, et même si je n’étais pas membre à titre personnel à cette époque j’ai toujours gardé un lien avec notre association et ses membres. C’est donc naturellement que j’ai repris mon adhésion lorsque je me suis installée en tant qu’indépendante. J’y suis une membre active : je participe à certains événements, j’en ai animé certains, et j’ai créé un petit groupe autour du secteur des relations média au sein de l’APACOM afin de fédérer les professionnels des RP qui ne demande qu’à grandir. Cela me paraissait donc un prolongement naturel de mon engagement associatif que de participer de manière encore plus active à la vie de l’APACOM.
Quels sont les projets développés par l’APACOM (ou idées complémentaires) pour lesquels vous souhaitez apporter votre contribution ?
J’aimerai contribuer à la visibilité de l’association et de nos métiers aussi bien d’un point de vue médiatique qu’au sein des réseaux économiques. Je m’engage également à permettre aux professionnels des relations média et de l’influence à trouver au sein de l’APACOM des temps de partage et d’échange autour de leurs enjeux au sein du programme événementiel déjà très riche de l’association.
Comment voyez-vous l’avenir de votre métier de communicant ?
Je pense que nos métiers se technicisent et se spécialisent de plus en plus, nous avons donc besoin d’avoir une vision stratégique et qui permette de comprendre les enjeux liés aux développements technologiques, sans pour autant perdre la dimension humaine qui est le coeur de nos métiers. L’avenir des différents métiers des communicants dépendra de notre capacité à conserver et renforcer la dimension humaine de la communication. Notre richesse réside aussi bien dans notre capacité d’adaptation aux bouleversements du monde que dans la création de liens multiples entre les gens, les organisations et les idées.