Portraits des candidats – Frédéric Moine

Publié le par chez APACOM. Modifié le

Nous commençons les présentations des candidats au conseil d’administration de l’APACOM par Frédéric Moine.

 

Présentez-vous en quelques lignes : votre parcours et vos fonctions actuelles.

Je suis chargé du développement de l’agence de communication Newsroom 365 et du média économique Placéco. Administrateur de l’Apacom depuis 2018, j’ai été en charge de la commission Trophées de la Com. Sud-Ouest ces deux dernières années. Avec cette année spéciale, nous avons créé une parenthèse des Trophées, la Galerie 7.5, en lieu et place de la 8e édition, pour continuer de valoriser le travail réalisé par les agences et annonceurs en région, malgré un contexte économique difficile.

 

 

Vous candidatez au poste d’administrateur au sein de l’APACOM. Quelles sont les raisons de cet engagement ?

Je souhaite poursuivre mon engagement à l’Apacom, après ces deux années écoulées, d’abord parce que les Apacomiens sont super sympas, et pour continuer mon travail dans la commission des Trophées. Chaque année, l’organisation des Trophées alterne entre l’Apacom à Bordeaux et nos confrères du Club de la Com à Toulouse. Nous avons convenu avec nos amis d’Occitanie que la 8e édition, qui devait normalement avoir lieu en 2020, resterait à Bordeaux en 2021.  J’ai bon espoir que nous parviendrons à organiser une édition normale cette année ! Et j’ai à cœur d’aller au bout de choses en poursuivant le pilotage de cette commission pour l’Apacom.

 

Comment voyez-vous l’avenir de votre métier de communicant ?

Nous avons compris en 2020 que la communication est plus que jamais un outil indispensable pour informer les publics, continuer de développer son activité et fédérer les interlocuteurs autour de problématiques communes. Les communicants devront tendre vers toujours plus de pédagogie, de transparence et de rigueur dans ce travail. Aussi, il me semble nécessaire que la communication prenne une place de plus en plus stratégique dans les processus de décision. Compte-tenu de l’exigence ténue des publics qui écoutent les publicitaires, il ne s’agit plus pour les annonceurs de simplement parler et dire – au risque de tomber dans les bricolages, mensonges et dissimulations que l’on retrouve dans les « washings » en tous genres – mais faire ce que l’on dit et dire ce que l’on fait. A cet égard, les communicants, qui ont d’abord la charge de rendre esthétique et digeste des messages complexes, n’auront plus seulement un rôle de maquilleur à jouer, mais bien de conseil auprès de celles et ceux qui orientent les actions de leur entreprise, organisation ou institution. En tous cas c’est ce que je souhaite pour l’avenir de la profession.

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