Aujourd’hui nous vous présentons Jacques Bardet, fondateur de Ça va barder , qui revient avec nous sur son parcours et les raisons de sa candidature. En effet, à l’occasion de l’Assemblée générale annuelle de l’APACOM, programmée le jeudi 31 janvier 2013, les adhérents seront amenés à voter afin d’élire de nouveaux administrateurs, futurs animateurs de la vie de notre association.
Sa « Bio-Express » :
J’ai commencé ma carrière dans le journalisme ; d’abord en radio (comme reporter, présentateur et producteur-animateur) puis en presse en tant que rédacteur en chef associé du magazine Paris Planète, un gratuit culturel urbain qui fut lauréat de la Fondation Jacques Douce en 1997. J’ai également travaillé en free lance pour des titres traitant de culture urbaine et d’actualité des entreprises. En 2005 je m’installe à Bordeaux : j’intègre alors une formation aux métiers de la communication à Nantes, pour fonder peu après l’agence Ça va Barder dont je suis directeur associé.
Votre « actu » dans la communication ?
Après avoir développé des offres en conception-rédaction, édition et communication numérique, je reviens en ce moment vers mon premier métier – le journalisme – via les relations de presse. Et cela fonctionne bien parce que je sais d’expérience ce dont les journalistes ont besoin pour travailler.
Un dossier récent : la responsabilité des relations médias de Aquitaine Sciences Transfert®, société à actionnariat public constitué dans le cadre des Investissements d’avenir qui va accélérer le transfert de technologie entre la recherche publique régionale et les entreprises. Un véritable enjeu pour notre territoire et au-delà.
Vous candidatez au poste d’administrateur au sein de l’APACOM. Quelles sont les raisons de cet engagement ?
Lorsque je me suis installé à Bordeaux, j’étais un «journaliste-parisien». Il m’a fallu m’adapter à un environnement professionnel très différent de celui dans lequel j’évoluais jusqu’alors ; ce en quoi l’APACOM a joué un rôle important. Je lui en suis reconnaissant, et l’exprime ainsi. Et puis après 4 années (et 3 présidences) de participation aux Conseils d’administration, dont une au poste de Secrétaire général adjoint, j’ai pris goût à l’énergie qui nous fait produire plus de 40 évènements par an pour réunir jusqu’à 400 participants… et tout cela sur la base du bénévolat !
Quels sont les projets développés par l’APACOM pour lesquels vous apporterez votre contribution ? Avez-vous des idées complémentaires que vous aimeriez mettre en œuvre ?
Suite au séminaire de mars 2012, le Conseil m’a confié deux missions : la conception-rédaction du texte VADEMECUM publié dans l’annuaire 2012 qui présente l’association, son sens, ses actions ; je vais désormais l’actualiser. Et toujours sur sa demande, j’ai animé la Commission cartographie qui a pour objet d’améliorer l’intelligibilité des productions de l’APACOM : événements, communication, RP, etc. Concrètement, nous allons intégrer au Printemps 2 créations graphiques sur nos outils de communication (site, annuaire…) qui développeront une vision cohérente de toutes nos actions. Pourquoi ? Pour soutenir l’implication des adhérents et nos relations publiques, et accompagner le Conseil dans son rôle de pilotage.
Enfin, je vais continuer de co-piloter le «18/20 des indépendants» qui réunit chaque mois une communauté ouverte et véritablement sympathique à l’occasion d’éditions thématiques ou de réseau. Pour mémoire, le 18/20 est ouvert à tous les adhérents de l’association ainsi qu’à leur réseau professionnel.
Concernant votre métier de communicant, quelles grandes évolutions, quels changements nous impactent ou vont nous impacter ?
Les solutions numériques bien sûr, qui modèlent jour après jour l’exercice de nos métiers. Pour Ça va barder, la dernière illustration est l’intégration de la solution en ligne et mobile Azendoo. Elle permet à tous les collaborateurs d’un projet d’accéder en temps réel aux mêmes ressources, tâches, planning ; et aux informations collaboratives via un réseau social interne. C’est simple, efficace… et développé par une start-up Bordelaise !
Propos recueillis par Béatrice Vendeaud