En cause, les mauvaises pratiques de nombreux annonceurs qui, pendant trop longtemps, ont envoyé des emails en masse et des contenus inadaptés. Les newsletters voient leurs performances chuter, et les taux de désabonnement augmenter dans le même temps.
L’email marketing avait pourtant acquis la solide réputation du levier le plus rentable pour informer ses prospects et fidéliser ses clients. Depuis, il a vu sa cote de popularité décroître et pour retrouver ses lettres de noblesse et son ROI légendaire, le support devait se réinventer. La Dynamic Creative Optimization fait alors son entrée et pourrait bien donner une nouvelle vie à l’emailing traditionnel.
La DCO (Dynamic Creative Optimization) est une nouvelle technologie qui permet d’adapter et personnaliser son contenu en fonction du profil et des intérêts de l’internaute au moment de l’ouverture de l’email et non plus de l’envoi…. Et ça, ça change tout !
Lorsque l’on sait que l’ouverture d’une newsletter peut se faire sur 2 ou 3 jours, une mise à jour automatique et en temps réel à l’ouverture permet d’éviter l’obsolescence éventuelle de l’information et de gagner en pertinence.
Il devient possible de jouer sur des variables telles que le prix, les stocks ou encore la météo sans craindre de tomber à côté.
Les marketeurs américains ont bien compris qu’il s’agissait d’une petite révolution et ont d’ores et déjà adopté la DCO dans leurs pratiques d’envoi de newsletters.
Résultats : les taux d’engagement augmentent de 15 à 44% (étude agence américaine EPSILON) et plus de 60% des responsables marketing américains envisagent de mettre en place une solution de DCO rapidement (étude institut de recherche FORESTER).
Alors, toujours « has been » l’emailing ?
Magali THEPOT