La semaine dernière, Google a fait une entrée très remarquée dans l’univers du web 2.0. Ajoutez vos amis, classez-les, commentez et aimez leurs statuts, postez vos photos et vidéos… Le principe de Google + reste le même que celui d’un réseau social classique. La différence majeure réside dans le fait que l’inscription requière une adresse électronique gmail. Hormis cela, les « j’aime » deviennent des « +1 » et les discussions à plusieurs sont désormais possibles – bien que Facebook ait contré l’attaque pas plus tard qu’hier en intégrant une option similaire. A l’image de Twitter, la réciprocité de la « relation » que vous entretenez avec les personnes qui composent votre réseau n’est pas obligatoire : vous pouvez « suivre » sans « être suivi » et vice versa.
Google +, un réseau social et pourtant encore confidentiel. En effet, l’inscription est actuellement soumise à un processus d’invitations émanant des personnes déjà membres. Révélant une architecture familière et épurée, cette version beta intrigue et nous amène tous à se poser la même question » Facebook aurait-il enfin trouvé un concurrent à sa taille ? ». Certains répondront oui sans hésiter après avoir appris la nouvelle : Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a annoncé hier, mercredi 6 juillet, la signature d’un accord avec Skype, le leader des appels vidéo gratuits via internet.
Le + : à compter du 31 juillet, Google + supprimera automatiquement l’intégralité des profils configurés « privés ». Le but de ce réseau étant « d’aider les internautes à vous trouver et à vous contacter en ligne« .
Justine Condamine