L’agence de communication « digital native » Vanksen a réalisé une étude sur les enjeux de l’E-reputation pour les marques en 2014.
A travers un slideshare et en utilisant différents exemples fictifs, Vanksen nous explique les tenants et aboutissants de ce que signifie l’E-reputation pour les marques aujourd’hui.
Le terme « E-reputation » est apparu dans les années 2000. Il s’agit de la perception qu’ont les internautes vis-à-vis d’une entreprise. Elle résulte d’une part des flux d’informations qu’ils rencontrent sur Internet et d’autre part du capital conversationnel généré autour de cette entreprise. En d’autres mots, ce qui se passe sur le Web influe sur l’image d’une marque aussi bien online que offline et a un impact sur son business.
Bien plus qu’un buzzword…
Aujourd’hui, l’E-reputation est considérée comme un véritable domaine d’expertise. Bien plus qu’un simple outil de monitoring, elle permet de surveiller les contenus mentionnant la marque, les produits ou ses concurrents, estimer la visibilité d’un sujet et identifier les risques et signaux faibles liées à l’activité de la marque.
Avec tout de même certaines limites…
Néanmoins, l’E-reputation ne peut pas répondre à toutes les interrogations ni tout contrôler. Notamment, il n’est pas possible à l’E-reputation de dérober des données privées, protégées par les internautes.
Récolter des données
Aujourd’hui, seulement 2% des entreprises affirment exploiter la Big Data. Un chiffre trop faible quand on se rend compte des opportunités que représente le traitement de la datamasse et l’impact qu’elle peut avoir sur l’E-reputation.